FR EN

L'actualité sur la data

13.05.2024 08:30

Altij soutient le Prix de la Donnée 2024

Le Prix de la donnée revient en 2024 pour récompenser deux Thèses ou Mémoires de Master 2, en...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Les essentiels, Veille Juridique
08.05.2024 21:16

Cybersécurité : La Secrétaire d'État Marina Ferrari à Toulouse

France Charruyer porte les inquiétudes des dirigeants et des PME en matière de cybersécurité


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Les essentiels, Veille Juridique
19.03.2024 14:25

Altij Avocats au Forum International de Cybersécurité

Du 26 au 28 mars 2024, l'équipe ALTIJ sera présente aux côtés de notre legal...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit de la Propriété Intellectuelle, Droit des Technologies Avancées, Informatique, libertés et vie privée , Veille Juridique
15.02.2024 11:10

Les enjeux de souveraineté des données de santé en France

L’Internet Society France demande l’annulation de la délibération de la CNIL autorisant...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Recours collectifs, Veille Juridique
27.12.2023 10:10

Trust by Design : formation sur l'IA à l'épreuve de l'entreprise ; enjeux juridiques, techniques et bonnes pratiques

SAVE THE DATE le 11 janvier 2024, de 14h à 19h dans les locaux d'ALTIJ


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Les essentiels, Veille Juridique
25.12.2023 15:23

Droit à la preuve face à la protection des données personnelles : peut-on tout utiliser comme moyen de preuve ?

Épisode 2 : Production des bulletins de paie (2/3)


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit Social, Contentieux prud'homal et licenciements , Droit pénal du travail , Relations individuelles et contrat de travail, Veille Juridique
23.11.2023 11:00

CNIL : France CHARRUYER était membre du comité de sélection du "Bac à sable" intelligence artificielle

Un honneur pour le cabinet ALTIJ qui s'engage pour favoriser une IA innovante et respectueuse de la...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Les essentiels, Veille Juridique
23.11.2023 10:09

Intelligence Artificielle : My RGPD et My legal RSSI, des bots pour vous accompagner dans la conformité

Le cabinet ALTIJ s'engage pour l'innovation et la conformité


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Informatique, libertés et vie privée , Les essentiels, Veille Juridique
02.10.2023 09:43

Amazon France dans le viseur de la CNIL !

Le géant de la logistique risque une amende de 170 millions d’euros pour sa gestion des données à...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit des Technologies Avancées, Droit Social, Les essentiels, Veille Juridique
11.09.2023 11:53

Lanceur d'alerte : Évolutions en matière de procédure d’alerte depuis le décret du 3 octobre 2022

  Employeurs, depuis la publication le 3 octobre 2022 du décret d’application de la loi...


Cat: Données - Bases de données – RGPD / DPO - Big Data et intelligence artificielle, Droit Social, Les essentiels, Veille Juridique
voir les archives ->
< Me Charruyer intervient lors du Meetup IOT Valley sur le thème "Bases de données, le possible et l’interdit" le 27 janvier prochain
06.02.2017 15:48 Il y a: 7 yrs
Categorie: Droit des sociétés
Auteur : Me Sylvain Favier - Avocat Toulouse - Corporate

L’ « equity crowdfunding » dans les sociétés par actions simplifiées


La société par actions simplifiées (SAS) s’est démarquée pour son cadre juridique particulièrement souple, les associés y disposant d’une grande liberté dans la rédaction des statuts. Cela concerne aussi bien les conditions dans lesquelles la SAS peut être dirigée[1] que  la sphère de compétence des associés ou encore les modalités des décisions collectives[2]. Les start-up sont, dans la majorité des cas, immatriculées sous cette forme eu égard à cette grande souplesse et l’attrait qu’elles présentent pour les investisseurs (love money, institutionnels, etc.…) La SAS, bien que ne disposant pas de la possibilité de recourir stricto sensu à une « offre au public »[3], a la possibilité de proposer ses titres à des particuliers par l’intermédiaire d’une plateforme de financement participatif[4]. On parle d’ « equity crowdfunding ». Ce procédé présente une véritable opportunité pour les start-up qui peinent à se financer. Il faut néanmoins respecter certaines conditions applicables à toutes les formes de société : (i)     l’offre doit être proposée par un intermédiaire[5] via des plateformes respectant les caractéristiques fixées par le règlement général de l’Autorité des marchés financiers (AMF) ; (ii)    la levée de fonds ne peut pas dépasser un million d’euros sur une période de douze mois. Il existe également un encadrement spécifique, qui est propre aux SAS. Celui-ci conduit à restreindre la grande souplesse qui caractérise ce type de société. En effet, celles qui font le choix de recourir au financement participatif se voient imposer le formalisme établi dans les sociétés anonymes (SA) en réintroduisant certaines dispositions propres à ces dernières dans les statuts. Cela concerne notamment les dispositions relatives à la compétence, au droit de vote, aux règles de quorum et de majorité des assemblées ainsi qu’au droit de révoquer les dirigeants. Cet encadrement s’applique également pour les sociétés détenues directement ou par l’intermédiaire d’une société holding [6]. Finalement, cette remise en cause d’une partie de l’attractivité de la SAS, qui permettait d’organiser avec une certaine souplesse les relations entre les associés, est le prix à payer pour les nouvelles opportunités de financement.
[1] Art. L. 227-5 du C. com. [2] Art. L. 225-9 du C. com. [3] L’art. L. 227-2 du C. com interdit à la SAS de procéder à une offre au public de titres financiers ou à l'admission aux négociations sur un marché réglementé de ses actions. [4] Art. L. 227-2 du C. com [5] Soit un prestataire de services d'investissement, soit un conseiller en investissements participatifs. [6] Art. L. 227-2-1 du C. com.